Mes travaux portent sur le rôle des ongulés sauvages, introduits et domestiques dans la dynamique des communautés végétales. Ils incluent les interactions trophiques directes (herbivorie, prédation) et indirectes (cascades trophiques) et leurs effets comme ingénieurs de l’écosystème dans les processus de transport des diaspores (épi‐ et endozoochorie), dans les processus physiques (perturbations du sol et de l’habitat) et chimiques (effets sur les flux de nutriments). A terme, l'objectif consiste à intégrer ces multiples interactions entre ongulés et différents compartiments biotiques et abiotiques pour appréhender leur empreinte écologique dans le fonctionnement de l'écosystème forestier.